WELLAND – Depuis le début de la pandémie, le macabre compteur de Santé publique Ontario égrène les décès quotidiens dans les foyers de soins de longue durée. Dans ces centres surmédicalisés que l’on pensait à l’abri du pire, 1 400 résidents ont succombé au virus, partout dans la province. Près de la moitié ont, à un moment ou un autre, laissé entrer le virus. Mais l’unique foyer francophone du Niagara, qui a été l’un des premiers à interdire les visites, a réussi jusqu’à présent à déjouer l’éclosion.
À WELLAND, UN FOYER FRANCOPHONE IMPERMÉABLE AU VIRUS
